La réflexologie apporte au corps un bien-être total. Il est donc important, en plus de la maîtrise technique du thérapeute, que vous soyez à l'aise dans une ambiance de paix qui élèvera votre esprit. Un bon soin implique de connaître votre passé et de discuter des réactions normales au traitement ainsi que quelques questions pour savoir où et quand ne pas traiter également.
Monter votre dossier
Afin de visualiser globalement votre style de vie et votre passé médical, j'aurais besoin d'un certain nombre d'informations. Posséder un historique complet me donnera un portrait clair pour vous traiter.
Vous trouverez ci dessous le document contenant l'ensemble des questions que je vous poserai. On peut la remplir ensemble au cabinet ou vous pouvez la télécharger et la préremplir. Ensuite, vous la signerez, me donnant ainsi la permission de vous traiter.
Connaître les maladies, les opérations ou les lésions mentionnées me permettra de prendre soin des points réflexes qui y correspondent.
Quand ne pas traiter ?
En réflexologie plantaire et palmaire, il y a des contre-indications formelles, c’est-à-dire que dans ces situations, même le protocole détente ne peut être proposé :
Traumatisme et inflammation des pieds (dont plaies ouvertes). Dans le cas où l'éventuelle blessure ou inflammation sera située sur le pied uniquement, le réflexologue pourra alors intervenir sur la main (et inversement)
Phlébite, thrombose, œdème lymphatique dans l’année précédente (sauf si vous prenez un traitement anticoagulant ET avec accord de votre médecin).
Hypertension importante non stabilisée par un traitement médical, quelle qu’en soit la cause
Pacemaker
Le premier trimestre de grossesse
Pendant les états de crise comme la fièvre ou les inflammations aiguës (eczéma, SEP, arthrite). En dehors de ces périodes de crises, aucune contre-indication.
Pendant les pics de maladies auto-immunes non spécifiques (maladie de Crohn, fibromyalgie…). En dehors de ces pics, pas de contre-indication.
Les maladies cardiaques récentes, c’est-à-dire de moins de 6 mois (pontages, infarctus).
Les personnes présentant un cancer de stade 3 ou 4 en pleine série de chimiothérapie. En dehors de ces périodes, si les ressources vitales de la personne sont disponibles, pas de contre-indications. Dans ce cas, il est préférable de demander un avis médical avant de consulter votre thérapeute.
Pendant les règles lorsque les menstruations sont abondantes voire hémorragiques
En cas d’excès de drogues ou d’alcool