Cancer

Dans le monde industrialisé, une personne sur trois aura un cancer à un moment donné de sa vie. En effet, bien que la médecine moderne vainque de mieux en mieux les maladies qui emportaient nos ancêtres, il est évident que le cancer sera responsable de la mort de beaucoup d'entre nous.

 

Rien que le mot "cancer" effraie beaucoup de personnes. Toutefois, notre connaissance accrue de la façon dont le cancer se développe nous permet d'en réduire les risques. Si les différents cancers ont différentes causes, il existe pourtant des facteurs généraux qui en augmentent les risques.

 

  • Le tabagisme : Il n'y a aucun doute que fumer augmente le cancer. Beaucoup de fumeurs refusent de reconnaître que fumer ne menace pas seulement la gorge et les poumons : cela encourage aussi l'apparition de cancers dans toutes les parties du corps-bouche, estomac, intestins, prostate, pancréas, utérus et ovaires.

 

  •  L'obésité : Le surpoids augmente les risques de cancer, en particulier le cancer de l'utérus, des reins, de l'œsophage, de la vésicule biliaire, du côlon et du rectum, ainsi que du sein chez les femmes ménopausées. Les chercheurs pensent que l'obésité encourage le cancer en élevant le taux des hormones sexuelles, en particulier des œstrogènes (chez les femmes comme chez les hommes), ou des hormones pancréatiques comme l'insuline. Un lien a été aussi démontré entre un régime à haute teneur en graisses et le cancer, surtout celui du côlon.
  • Les facteurs environnementaux : Partout dans le monde, nous sommes constamment bombardés par la pollution : gaz d'échappement des voitures, pesticides dans la nourriture, produits chimiques ménagers. Nous sommes aussi exposés aux fuites radioactives ou chimiques et à l'énergie électromagnétique des lignes à haute tension. Un lien a aussi été établi avec les rayons X, les traitements d'hormones substitutives, les médicaments destinés à contrôler le cholestérol ou ceux pour encourager la fertilité

 

  • Le stress : Il n'y a aucun doute que le stress peut induire le développement du cancer. Le stress épuise notre système immunitaire, utilisant énormément d'énergie.

 

  • Les prédispositions génétiques : Il s'agit d'un facteur hors de notre contrôle. Etre conscient d'une propension familiale à un certain cancer incitera à essayer de réduire les facteurs de risque.

Le cancer a rarement une cause unique. Par exemple, les risques d'un cancer du col de l'utérus impliquent : déficience en acide folique, tabagisme, nombreux partenaires sexuels notamment au moment de l'adolescence lorsque le col de l'utérus est immature, penchant excessif pour l'alcool. L'accumulation de ces facteurs augmente le risque.

 

Que peut-on faire pour nous-mêmes ?

 

Nous ne pouvons pas contrôler la pollution au niveau planétaire et ne pouvons agir contre nos gènes. Pourtant, quelques petits efforts peuvent réduire les facteurs de risque :

 

  • Suivez un régime alimentaire sain, bas en graisses saturées et élevé en hydrates de carbone complexes. Mangez beaucoup de fruits frais, de légumes et de boissons additionnées de vitamines et de minéraux
  • Chaque jour, faites de l'exercice : séance de gymnastique. de natation, exercice aérobie, voire une marche rapide.
  • Arrêtez de fumer. C'est difficile mais nécessaire.
  • Surveillez votre foie. Il filtre nos toxines hors du corps : ne le surchargez pas avec de l'alcool ou des graisses.
  • Maîtrisez le stress. Si l'exercice est un excellent antidote, soyez attentif aussi à votre style de vie. Soyez optimiste, ne ruminez pas des rancunes, n'étouffez pas vos sentiments. Les émotions non exprimées créent des ravages dans notre corps.

Comment la Réflexologie peut-elle aider ?

 

La Réflexologie peut aider les malades du cancer à se relaxer. L'amélioration de l'innervation et de l'irrigation sanguine augmente le fonctionnement du système immunitaire et garde l'équilibre du système hormonal. La Réflexologie peut aider aussi contre la maladie : un traitement général sur une base régulière apporte du bien-être.

La Réflexologie est de plus en plus souvent intégrée par le corps médical comme soin de support pour les patients. L'avis de l'oncologue est souvent demandé par le praticien pour prodiguer un soin de réflexologie.